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5 raisons pourquoi les Congolais méritent leurs politiciens

Parce qu’à force d’accepter l’inacceptable, on finit par le mériter.

by La Rédaction
14 juin 2025
in Actualité, Politique, Société
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Si la classe politique congolaise prospère dans la médiocrité depuis six décennies, c’est que le terrain sociologique lui est favorable. Autopsie sans complaisance d’une complicité inavouée.

« Biso na biso » – entre nous. Ce slogan qui a porté Laurent-Désiré Kabila au pouvoir résume en trois mots l’illusion congolaise : croire qu’il suffit de changer les visages pour transformer le système. Soixante-trois ans après l’indépendance, la République Démocratique du Congo collectionne les présidents mais recycle les mêmes mécanismes de gouvernance.

Entre Mobutu, les Kabila père et fils, et aujourd’hui Tshisekedi, les noms changent mais les pratiques perdurent. Corruption systémique, népotisme assumé, clientélisme généralisé. Et si cette continuité révélait moins l’échec des dirigeants que l’adéquation entre l’offre politique et certaines attentes sociales ? Analyse dérangeante d’une symbiose toxique, malgré les résistances citoyennes qui émergent.

  1. La corruption quotidienne forme l’école des futurs dirigeants

Dans les bureaux de l’Office National d’Identification des Populations, un passeport coûte officiellement 75 dollars. Officieusement, il faut ajouter 50 dollars de « motivation » pour l’obtenir en moins de six mois. Cette corruption du quotidien, banalisée dans l’administration, les écoles et même les hôpitaux, constitue l’école de formation des futurs dirigeants.

L’hypocrisie du système : une grande partie des citoyens dénoncent la corruption des ministres tout en glissant régulièrement des billets pour accélérer leurs démarches administratives. Selon une enquête de Transparency International RDC (2023), 68% des interactions avec les services publics impliquent un « petit quelque chose » pour débloquer le dossier.

Cette corruption horizontale crée paradoxalement une demande sociale. Les électeurs attendent souvent de leurs élus qu’ils « partagent » les ressources publiques avec leur communauté d’origine. Le député qui ne finance pas de projets locaux avec les fonds publics passe pour inefficace, même s’il vote les meilleures lois. Cette dynamique rend l’intégrité électoralement risquée et récompense les pratiques prédatrices.

  1. Le vote ethnique prime sur les programmes politiques

L’analyse des résultats électoraux de 2006, 2011 et 2018 révèle une constante : la géographie du vote suit les frontières ethno-linguistiques. Kasaï pour Tshisekedi, Katanga pour les « fils du terroir », Province Orientale pour les leaders locaux. Cette logique identitaire détermine largement les choix électoraux, reléguant les programmes au second plan.

Le piège du tribalisme électoral : quand un électeur choisit d’abord son « frère » ethnique, il dispense ce candidat de présenter un projet crédible. Ces politiciens l’ont compris et adaptent leur stratégie : pourquoi investir dans l’élaboration de politiques publiques sérieuses quand il suffit de mobiliser sa base ethnique ?

Résultat : des dirigeants élus sur leur origine plutôt que sur leurs compétences. Cette logique produit mécaniquement une classe politique médiocre, puisque le mérite passe après l’appartenance. Même si des mouvements comme Lucha tentent de promouvoir un vote programmatique, cette culture politique reste dominante.

  1. La vénalité électorale transforme la démocratie en marché

Lors des élections de 2018, les observateurs ont documenté la distribution massive de « kits électoraux » : sacs de riz, bidons d’huile, pagnes, et sommes d’argent allant de 5 000 à 20 000 francs congolais par vote. Cette marchandisation du suffrage, particulièrement efficace dans les zones de pauvreté extrême, transforme l’élection en transaction commerciale.

L’équation perverse : celui qui achète un vote se sent propriétaire du mandat obtenu. Comment un élu payé 10 000 FC par bulletin pourrait-il se sentir redevable envers un électeur qui lui a vendu sa voix ? Cette corruption électorale inverse la relation démocratique et légitime l’irresponsabilité des dirigeants.

Certes, cette vénalité s’explique souvent par la nécessité – dans un pays où 77% de la population vit avec moins de 2 dollars par jour selon la Banque Mondiale. Mais elle n’en reste pas moins un mécanisme qui sélectionne les candidats les plus fortunés et les moins scrupuleux, perpétuant un système où l’argent sale domine l’intérêt général.

  1. Le culte du chef affaiblit les institutions démocratiques

Soixante ans d’indépendance, soixante ans d’attente du « sauveur providentiel ». Lumumba le martyr, Mobutu le guide, Laurent-Désiré le libérateur, Joseph l’héritier, Félix le démocrate. À chaque transition, se manifeste cette même attente : « Cette fois sera la bonne, ce leader-là va tout changer. »

La culture du « grand homme » explique pourquoi les institutions congolaises restent structurellement faibles. Pourquoi renforcer le parlement, moderniser la justice, professionnaliser la fonction publique quand la solution viendrait d’un président providentiel ? Cette mentalité concentre tous les espoirs et tous les pouvoirs dans les mains d’un seul homme.

Conséquence : des institutions fantômes, des contre-pouvoirs inexistants, un État réduit à la personnalité de son chef. Quand Tshisekedi père meurt, l’UDPS s’effondre temporairement. Quand Mobutu tombe, le Zaïre implose. Cette personnalisation du pouvoir produit mécaniquement des dérives autoritaires et empêche toute consolidation démocratique durable.

  1. La résignation civique laisse le champ libre aux opportunistes

Pendant que les Sénégalais manifestent contre la limitation des mandats, que les Burkinabè chassent Compaoré, que les Kenyans manifestent contre un budget exorbitant, une partie significative de la population congolaise cultive une forme de fatalisme politique. « Politique ezali ya ba mindele » (la politique, c’est pour les Blancs), « Nzambe akosala » (Dieu va agir) – ces phrases traduisent un désinvestissement civique problématique.

Cette passivité relative ne relève pas uniquement de l’ignorance mais parfois d’un choix conscient de désengagement. Préférer se plaindre plutôt qu’agir, critiquer plutôt que proposer des alternatives concrètes. Cette démission d’une partie du corps social explique pourquoi les médiocres accèdent si facilement au pouvoir : la concurrence citoyenne reste limitée.

Il faut nuancer : des mouvements comme Lucha, Filimbi, ou les mobilisations anti-Kabila de 2016-2018 prouvent qu’une conscience civique existe. Mais ces initiatives restent minoritaires face à une culture politique dominante qui privilégie l’attentisme. Tant que l’engagement citoyen restera l’exception plutôt que la norme, le terrain politique demeurera favorable aux carriéristes et aux prédateurs.

Ces cinq dynamiques dessinent une réalité complexe : la classe politique congolaise n’est pas un corps totalement étranger au peuple, mais le produit d’interactions sociales spécifiques. Elle prospère en partie parce qu’elle correspond à certaines pratiques, attentes et renoncements présents dans le corps social.

Le tribalisme politique, la corruption normalisée, la vénalité électorale, le culte du chef et la résignation civique ne sont pas des tares exclusivement politiciennes. Elles traversent différents secteurs de la société congolaise, de l’entreprise à l’administration, créant un écosystème favorable à la reproduction des élites prédatrices.

Cependant, cette analyse ne doit pas occulter les facteurs structurels : l’héritage colonial, la pauvreté massive, l’insécurité chronique dans certaines régions, qui contraignent les choix individuels. Ni ignorer les résistances : société civile active, mouvements de jeunesse, initiatives citoyennes qui tentent de transformer cette culture politique.

La question centrale demeure : comment briser ce cercle vicieux ? L’expérience d’autres pays africains montre que le changement est possible quand une masse critique de citoyens décide de transformer ses pratiques politiques. Au Botswana, au Ghana, des sociétés ont réussi à élever leurs standards démocratiques en quelques décennies.

Pour le Congo, cela impliquerait de passer du vote ethnique au vote programmatique, de la corruption-service à l’exigence d’intégrité, de l’attente messianique au renforcement institutionnel. Un chantier de longue haleine, mais pas impossible. Car finalement, si les peuples ont les dirigeants qu’ils méritent, ils ont aussi le pouvoir de mériter mieux.

Si la classe politique congolaise prospère dans la médiocrité depuis six décennies, c’est que le terrain sociologique lui est favorable. Autopsie sans complaisance d’une complicité inavouée.

« Biso na biso » – entre nous. Ce slogan qui a porté Laurent-Désiré Kabila au pouvoir résume en trois mots l’illusion congolaise : croire qu’il suffit de changer les visages pour transformer le système. Soixante-trois ans après l’indépendance, la République Démocratique du Congo collectionne les présidents mais recycle les mêmes mécanismes de gouvernance.

Entre Mobutu, les Kabila père et fils, et aujourd’hui Tshisekedi, les noms changent mais les pratiques perdurent. Corruption systémique, népotisme assumé, clientélisme généralisé. Et si cette continuité révélait moins l’échec des dirigeants que l’adéquation entre l’offre politique et certaines attentes sociales ? Analyse dérangeante d’une symbiose toxique, malgré les résistances citoyennes qui émergent.

  1. La corruption quotidienne forme l’école des futurs dirigeants

Dans les bureaux de l’Office National d’Identification des Populations, un passeport coûte officiellement 75 dollars. Officieusement, il faut ajouter 50 dollars de « motivation » pour l’obtenir en moins de six mois. Cette corruption du quotidien, banalisée dans l’administration, les écoles et même les hôpitaux, constitue l’école de formation des futurs dirigeants.

L’hypocrisie du système : une grande partie des citoyens dénoncent la corruption des ministres tout en glissant régulièrement des billets pour accélérer leurs démarches administratives. Selon une enquête de Transparency International RDC (2023), 68% des interactions avec les services publics impliquent un « petit quelque chose » pour débloquer le dossier.

Cette corruption horizontale crée paradoxalement une demande sociale. Les électeurs attendent souvent de leurs élus qu’ils « partagent » les ressources publiques avec leur communauté d’origine. Le député qui ne finance pas de projets locaux avec les fonds publics passe pour inefficace, même s’il vote les meilleures lois. Cette dynamique rend l’intégrité électoralement risquée et récompense les pratiques prédatrices.

  1. Le vote ethnique prime sur les programmes politiques

L’analyse des résultats électoraux de 2006, 2011 et 2018 révèle une constante : la géographie du vote suit les frontières ethno-linguistiques. Kasaï pour Tshisekedi, Katanga pour les « fils du terroir », Province Orientale pour les leaders locaux. Cette logique identitaire détermine largement les choix électoraux, reléguant les programmes au second plan.

Le piège du tribalisme électoral : quand un électeur choisit d’abord son « frère » ethnique, il dispense ce candidat de présenter un projet crédible. Ces politiciens l’ont compris et adaptent leur stratégie : pourquoi investir dans l’élaboration de politiques publiques sérieuses quand il suffit de mobiliser sa base ethnique ?

Résultat : des dirigeants élus sur leur origine plutôt que sur leurs compétences. Cette logique produit mécaniquement une classe politique médiocre, puisque le mérite passe après l’appartenance. Même si des mouvements comme Lucha tentent de promouvoir un vote programmatique, cette culture politique reste dominante.

  1. La vénalité électorale transforme la démocratie en marché

Lors des élections de 2018, les observateurs ont documenté la distribution massive de « kits électoraux » : sacs de riz, bidons d’huile, pagnes, et sommes d’argent allant de 5 000 à 20 000 francs congolais par vote. Cette marchandisation du suffrage, particulièrement efficace dans les zones de pauvreté extrême, transforme l’élection en transaction commerciale.

L’équation perverse : celui qui achète un vote se sent propriétaire du mandat obtenu. Comment un élu payé 10 000 FC par bulletin pourrait-il se sentir redevable envers un électeur qui lui a vendu sa voix ? Cette corruption électorale inverse la relation démocratique et légitime l’irresponsabilité des dirigeants.

Certes, cette vénalité s’explique souvent par la nécessité – dans un pays où 77% de la population vit avec moins de 2 dollars par jour selon la Banque Mondiale. Mais elle n’en reste pas moins un mécanisme qui sélectionne les candidats les plus fortunés et les moins scrupuleux, perpétuant un système où l’argent sale domine l’intérêt général.

  1. Le culte du chef affaiblit les institutions démocratiques

Soixante ans d’indépendance, soixante ans d’attente du « sauveur providentiel ». Lumumba le martyr, Mobutu le guide, Laurent-Désiré le libérateur, Joseph l’héritier, Félix le démocrate. À chaque transition, se manifeste cette même attente : « Cette fois sera la bonne, ce leader-là va tout changer. »

La culture du « grand homme » explique pourquoi les institutions congolaises restent structurellement faibles. Pourquoi renforcer le parlement, moderniser la justice, professionnaliser la fonction publique quand la solution viendrait d’un président providentiel ? Cette mentalité concentre tous les espoirs et tous les pouvoirs dans les mains d’un seul homme.

Conséquence : des institutions fantômes, des contre-pouvoirs inexistants, un État réduit à la personnalité de son chef. Quand Tshisekedi père meurt, l’UDPS s’effondre temporairement. Quand Mobutu tombe, le Zaïre implose. Cette personnalisation du pouvoir produit mécaniquement des dérives autoritaires et empêche toute consolidation démocratique durable.

  1. La résignation civique laisse le champ libre aux opportunistes

Pendant que les Sénégalais manifestent contre la limitation des mandats, que les Burkinabè chassent Compaoré, que les Kenyans manifestent contre un budget exorbitant, une partie significative de la population congolaise cultive une forme de fatalisme politique. « Politique ezali ya ba mindele » (la politique, c’est pour les Blancs), « Nzambe akosala » (Dieu va agir) – ces phrases traduisent un désinvestissement civique problématique.

Cette passivité relative ne relève pas uniquement de l’ignorance mais parfois d’un choix conscient de désengagement. Préférer se plaindre plutôt qu’agir, critiquer plutôt que proposer des alternatives concrètes. Cette démission d’une partie du corps social explique pourquoi les médiocres accèdent si facilement au pouvoir : la concurrence citoyenne reste limitée.

Il faut nuancer : des mouvements comme Lucha, Filimbi, ou les mobilisations anti-Kabila de 2016-2018 prouvent qu’une conscience civique existe. Mais ces initiatives restent minoritaires face à une culture politique dominante qui privilégie l’attentisme. Tant que l’engagement citoyen restera l’exception plutôt que la norme, le terrain politique demeurera favorable aux carriéristes et aux prédateurs.

Ces cinq dynamiques dessinent une réalité complexe : la classe politique congolaise n’est pas un corps totalement étranger au peuple, mais le produit d’interactions sociales spécifiques. Elle prospère en partie parce qu’elle correspond à certaines pratiques, attentes et renoncements présents dans le corps social.

Le tribalisme politique, la corruption normalisée, la vénalité électorale, le culte du chef et la résignation civique ne sont pas des tares exclusivement politiciennes. Elles traversent différents secteurs de la société congolaise, de l’entreprise à l’administration, créant un écosystème favorable à la reproduction des élites prédatrices.

Cependant, cette analyse ne doit pas occulter les facteurs structurels : l’héritage colonial, la pauvreté massive, l’insécurité chronique dans certaines régions, qui contraignent les choix individuels. Ni ignorer les résistances : société civile active, mouvements de jeunesse, initiatives citoyennes qui tentent de transformer cette culture politique.

La question centrale demeure : comment briser ce cercle vicieux ? L’expérience d’autres pays africains montre que le changement est possible quand une masse critique de citoyens décide de transformer ses pratiques politiques. Au Botswana, au Ghana, des sociétés ont réussi à élever leurs standards démocratiques en quelques décennies.

Pour le Congo, cela impliquerait de passer du vote ethnique au vote programmatique, de la corruption-service à l’exigence d’intégrité, de l’attente messianique au renforcement institutionnel. Un chantier de longue haleine, mais pas impossible. Car finalement, si les peuples ont les dirigeants qu’ils méritent, ils ont aussi le pouvoir de mériter mieux.

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